Daté « centre hospitalier de Montélimar, 8 et 9 décembre 2007 », Trame, une nuit dans la mort est écrit dans les heures de veille d’un proche. Il n’est pas question, après, de reprendre ni de bouger les lignes : ce qui s’est écrit l’a fait de façon sismique, s’est inscrit dans une disposition précise de pages, de graphies. Et c’est ainsi que l’expérience singulière rejoint l’expérience commune.
publie.net présente aussi, de Benoît Vincent, un essai en 3 volets, La littérature inquiète, dont le 1er, L’anonyme, sur Maurice Blanchot, est déjà en ligne. Visiter le site de Benoît Vincent : ambo(i)lati
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