Le rêve et la vie quotidienne. Le rêve qui se glisse à cause de la ville, à cause des enfants, à cause des métiers, des noms, des visgaes croisés dans le jour.
Et si le rêve alors nous aidait à mieux les comprendre, les proches ou les inconnus de la ville ? À mieux se connaître soi-même, par les peurs et les désirs, les glifles et les chutes, ou ces conversations avec mots étranges ?
C'est à cette exploration que nous convie Cécile Portier – une traversée de soi-même, faite chantier d'écriture, et c'est le fantastique qui surgit. Pas besoin d'horreur ni de surnaturel : et si c'était plutôt ce dérèglement du monde le plus familier, qui était susceptible de nous perturber le plus, et nous emporter dans le conte ?
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