La première traduction des Mines de Falun n'est pas du traducteur habituel d'Hoffmann, Egmont, mais voilà aussi un des récits les plus troublants – reprise de la trame traditionnelle d'un vieux conte, transgresser le destin en faisant un pacte avec les forces surnaturelles, et mêler à cela amour et mariage bien sûr, mais Hoffmann nous embarque dans la Suède du XIXe siècle, d'abord dans le monde des marins, puis dans celui de la mine.
Et c'est parce qu'on descend avec lui au fond de la terre, pour y chercher la mort, que ce récit est si fort.
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